IDée Consultants

IDée Consultants, Cabinet de conseil et de formation* en Relations sociales, Ressources humaines, Organisation du travail et Management, accompagne depuis plus de 30 ans, des entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, pour une recherche de la performance économique indissociable d’une dynamique du dialogue social rénové.

Nous apportons de la valeur ajoutée aux projets de nos clients dans les domaines suivants :

  • Accompagnement des relations sociales : stratégie globale, accompagnement de négociation, d'information consultation, médiation
  • Optimisation des Ressources Humaines : Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences, restructuration, mobilité, reclassement
  • Management et organisation : conduite du changement, gestion de projets, organisation et temps de travail
  • Santé sécurité au travail : définition et analyse des politiques de prévention, formation à l’évaluation des risques, responsabilisation des managers, formation des CSE (élus et présidents), prévention des risques psychosociaux, prévention des risques liés aux addictions.

Nos modes d’intervention, tout en garantissant la sécurisation juridique, privilégient la volonté de rechercher un compromis durable entre toutes les parties prenantes de l’entreprise et s’attachent pour cela, dans l’analyse du besoin exprimé, à identifier les enjeux stratégiques qui maillent les dimensions managériales, organisationnelles et sociales.

IDée Consultants répond à cette ambition par une démarche de compréhension en profondeur et sur mesure :

  • Qui exclue les solutions toutes faites et les outils prêts à l’emploi,
  • En optimisant la diversité de ses compétences et l’utilisation de tous les leviers du droit, du management, de la stratégie et de la communication.

* 1 526 personnes formées depuis le 30 août 2021 - 99,4 % des participants sont satisfaits ou très satisfaits (informations mises à jour le 25/07/2023)

"Présents depuis 1988, nous sommes un acteur incontournable du conseil en relations sociales."

Le Ministre du travail vient de lancer une campagne de sensibilisation sur les accidents graves et mortels du travail. J’avais déjà signalé que la France a des résultats déplorables en matière d’accidents graves et mortels au travail : Eurostats estime, que toutes proportions gardées, la fréquence des accidents du travail mortels est en France quatre fois plus élevée qu’en Allemagne et 6 fois plus qu’aux Pays-Bas. Certains ont bien tenté de remettre les chiffres d’Eurostats en cause mais ils avaient peu à proposer de solide pour ce faire et il a fallu se résoudre à admettre que nous avons un sérieux problème.
Le coaching, dont l’origine s’ancrerait dans la maïeutique de Socrate qui visait à « éveiller et accoucher les âmes du savoir préformé qu’elles portent en elles », a pénétré la plupart des domaines de la vie personnelle et professionnelle avec pour ambition « d’aider les personnes à trouver leurs propres solutions ». Quand il est « de vie », il répond à des enjeux de bien-être général ou du quotidien, par exemple les émotions, la confiance et l’estime de soi, les relations sociales, la parentalité, la nutrition.
20 ans, c’est court, c’est long, selon le vécu de chacun. Personnellement, je ne les ai pas vu passer, mais plus je croise dans les formations, des participant(e)s, aujourd’hui manageuses et managers et pour beaucoup mères ou pères de famille, alors qu’ils et elles étaient encore au collège il y a vingt ans, je me dis que ça fait quand même un bail. Et en vingt ans, les choses ont changé. Nous avons accompagné ces changements mais qu’ils aient été anticipés ou subis, certains d’entre eux ont clairement modifié la vie des entreprises.
Depuis 35 ans et plus particulièrement depuis que nous avons mis en place notre newsletter, nous nous sommes toujours autorisés quelques billets d’humeur sans langue de bois, quitte à ce qu’ils perturbent un peu les pensées et surtout les usages dominants du moment, y compris au risque de titiller un peu les pratiques de nos propres clients. Ainsi de la sous-traitance et de ses travers, dès lors notamment qu’elle ne correspond pas à une véritable externalisation, auprès d’une entreprise spécialiste, d’un besoin de l’entreprise, mais à la préoccupation et du coup la volonté première de disposer d’une main d’œuvre subordonnée, mais sans avoir à en assumer en contrepartie, les contraintes, exigences et responsabilités que posent le droit du travail et son encadrement du salariat. Un exemple récent, qui a fait la une de l’actualité, en a bien illustré les ambiguïtés, risques et limites.